Lumi-Naissant - Hypnose Spirituelle et QHHT
06 - Tout est parfait !
December 6, 2021
Petit épisode improvisé pour vous donner quelques nouvelles du moment : – Lâchons les peurs – Dorlotons-nous – Tout se passe comme prévu
Retrouver l'épisode sur mon site pour laisser un commentaire : https://lumi-naissant.com/podcast/episode-6-tout-est-parfait/

Bonjour à toutes et tous, je suis très heureux de vous retrouver pour ce nouvel épisode du podcast « Lui-Naissant en balado ». Un petit épisode improvisé.

J’ai échangé avec mon ami et collègue Bertrand Gadal qui pratique l’hypnose et la QHHT en Bretagne, mais qui fait aussi d’incroyables vidéos sur YouTube (https://www.youtube.com/channel/UCxPDL2BK3y0ZeMSI0dW8LwA), tantôt sérieuses, tantôt allumées ou complètement barrées. Mais ces vidéos sont là pour nous « activer ». Et après notre échange, en voyant sa dernière vidéo, j’imagine que j’ai été moi aussi activé ou réactivé avec l’inspiration et l’envie de partager quelque chose avec vous.

Comme vous avez pu le constater, je n’ai pas été présent ces derniers mois aussi bien sur les réseaux qu’en termes de publications.
J’aurai peut-être plus longuement l’occasion de vous partager ce temps de retraite qui était non seulement nécessaire, mais forcé.

En résumé, j’ai été mis au pied du mur. Je n’avais plus le choix. J’étais seul face à mes plus grandes peurs et ça n’était plus le moment de les mettre au fond d’un tiroir pour m’en occuper plus tard. Ben oui, c’est en général ce qu’on fait tous plus ou moins avec les corvées ou les tâches difficiles ou inconfortables. On se trouve des excuses pour les mettre de côté et s’en occuper « plus tard ».
Mais là, j’étais face à elles, face à toutes ces peurs et aucun petit chemin dérobé pour fuir ou essayer de les contourner. La seule façon d’avancer était de les confronter, de les dépasser, de les relâcher et les libérer.
Confronter ma peur de mourir, confronter ma peur d’étouffer, celle de ne pas être en contrôle, lâcher ma colère (ou je devrais plutôt dire MES colères), lâcher le contrôle. Bref ! Un gros travail ! Aujourd’hui ou plutôt 3 mois plus tard, une grosse partie du travail est faite. Évidemment, pas tout, loin de là (j’ai par exemple encore beaucoup de travail à faire sur ma colère), mais au moins, je peux à nouveau avancer.

Et en discutant avec plusieurs de mes amis et collègues, je me rends compte que c’est la situation de beaucoup de personnes actuellement : de se retrouver dans des situations très TRÈS inconfortables pour nous obliger à faire ce travail qui devient urgent.

Et ce que j’ai compris, c’est que c’est un passage, une étape nécessaire. La planète change de vibration. Elle change d’énergie. La planète s’élève et évidemment, nous devons suivre. Nous sommes interconnectés et nous devons nous adapter à elle. De la même façon que collectivement nos énergies agissent sur la planète, les énergies de notre Terre agissent sur nous à un niveau individuel.
Elle est en train de s’élever, d’élever ses vibrations et nous avons donc besoin de nous élever et d’élever également nos vibrations.

Mais comment pouvons-nous nous élever avec tout ce que nous portons, tout ce que nous traînons avec nous ? Il est grand temps de faire du ménage, de faire du tri et de se libérer de tout ce dont nous n’avons plus besoin. Et bien sûr, ce sont les choses qui sont ancrées le plus profondément et qui sont les plus difficiles et inconfortables à relâcher. Et pour beaucoup nous sommes dans ce travail actuellement.

À relâcher ces poids un peu à l’image d’un ballon qui lâche ses sacs de sable pour prendre de l’altitude naturellement et sans effort.

Et c’est là que c’est intéressant. Ce qui peut sembler si difficile, voir insurmontable est en fait tout l’inverse. Il suffit d’aller chercher, comprendre la source de ce défi et de lâcher. Tout simplement ! Imaginer qu’on se trouve du mauvais côté de la rambarde d’un pont au sommet d’un précipice, de lâcher ses mains et de se laisser tomber en confiance dans le vide.

Tout ça pour vous dire que si vous aussi vous traversez une période difficile que ce soit au niveau de la santé, du travail, de la famille… Ne vous découragez pas et ne forcez pas les choses. Vous êtes juste en train de libérer ce qui a besoin d’être libéré pour vous aider à avancer.

Un peu comme l’image de quelqu’un qui serait pris dans un torrent très puissant avec un gros débit à essayer de s’accrocher à une branche ou une racine sur la rive pour ne pas se laisser emporter et essayer de rester là où il est. Mais faire cela demande énormément d’énergie sans aucun résultat puisque cette personne reste là où elle est accrochée à sa branche en buvant la tasse à chaque vague qui vient la submerger.
Alors que si elle lâche, elle se laisse emporter, elle avance. Elle peut même se rendre compte qu’au milieu de la rivière le courant n’est peut-être pas si violent qu’il en avait l’air en étant sur la rive.
En fait, la seule chose qui peut nous retenir à notre branche est la peur de l’inconnu. Nous n’avons aucune idée de ce qui se trouve en aval dans cette rivière alors que la branche à laquelle nous nous agrippons solidement, aussi inconfortable que la situation puisse être, nous la connaissons.
Mais tout est parfait, tout est planifié, tout est prévu, tout est sous contrôle ! Et ça, c’est ce que je vais aborder dans un instant sur mon troisième point. Mais pour le moment, j’aimerais passer au deuxième point. Maintenant qu’on a lâché, on peut se coconner (l’idée de rester confortablement chez soi).

Toutes les semaines, je fais des guidances avec mon amie Karine et le mois passé, le message qui revenait toutes les semaines était de se coconner. On me montrait cette image de la maison en brique des Trois petits cochons. Une maison solide à l’épreuve de tout.
J’avais cette image d’une toute petite maison, ou plutôt d’une petite pièce en briques rouges dans laquelle se trouve une grosse cheminée qui réchauffe, un gros fauteuil rembourré bien confortable qui lui fait face et sur le côté, une grande fenêtre qui permet d’observer plusieurs tornades qui tournent au loin.
Et toutes les semaines pendant plusieurs semaines, nous avions le même message : coconnez-vous, choyez-vous, dorlotez-vous. Bref, une façon de dire de rester confortablement chez soi. Pas forcément au sens littéral, même si ça peut énormément aider, mais plus dans le sens de se retrouver avec soi « à l’intérieur de soi » en se coupant un peu du tumulte extérieur.
Il faudra aux guides une énième séance pour que nous aider à comprendre enfin l’importance de ce message que nous entendions… sans vraiment l’entendre. Et pour cette fois, avec leur grande patience, ils nous ont encore montré la même image, mais en plus ils ont ajouté quelque chose de nouveau. À la plupart des questions que Karine posait, la réponse était d’abord et toujours « oui et non, oui et non » qui sonnait exactement comme ce comique belge dont je ne trouvais plus le nom.
Et le lendemain, Karine m’envoie un message en me parlant de ce comique : GuiHOME ! (Home : la maison en anglais) WOOOOOOOW !

Et l’idée de ce message, c’est vraiment ça, se retrouver soi-même, se mettre au chaud, s’isoler de la tempête extérieure, qui est toujours là, que l’on peut observer de loin, mais qui ne nous atteint plus.

Alors c’était le message du mois passé, mais je pense qu’il est toujours d’actualité aujourd’hui. Coupons-nous des médias. En les suivants de trop près, en allant voir les dernières infos que ce soit sur les médias traditionnels ou alternatifs, on est pris dans cette tempête médiatique sans même s’en rendre contre.

Prenons du recul, isolons-nous et observons la tempête de loin. L’idée n’est pas de faire l’autruche en mettant la tête dans le sable. Dans ce cas, on ne voit rien, mais la tempête est là pour nous balayer. Observons la tempête de loin. De toute façon, une tempête reste une tempête. Quoi que l’on fasse, on ne peut pas l’arrêter. On peut juste se préparer, se protéger et attendre qu’elle passe et elle finit toujours pas passer.

L’autre idée sous-jacente dans ce message qui nous était transmis par nos guides était que de nombreuses personnes qui font justement l’autruche vont être (ou sont déjà) prises dans la tempête. Quand la tornade va les atteindre, elles ne pourront plus garder la tête dans le sable et seront totalement perdues. Et c’est à ce moment-là que les personnes qui auront su se mettre à l’abri, rester dans le calme et la sérénité pourront venir en aide aux personnes qui en auront besoin.

Alors, n’ayez pas peur de rentrer vous mettre au chaud et de ne pas rester dans la tempête. Ce n’est ni un geste égoïste ou lâche. Mais une décision très sage et vous serez plus utile à vous mettre à l’abri pour pouvoir venir en aide aux personnes qui seront prises dans la tempête que d’être pris vous-même dans cette tempête.

Et n’oubliez pas, tout est parfait ! TOUT EST PARFAIT !
D’un point de vue spirituel, nous avons choisi d’être là, nous avons choisi notre incarnation et toutes les circonstances de cette incarnation à commencer par la famille qui va nous accueillir et dans laquelle nous grandissons.
Nous avons choisi d’être là aujourd’hui ! De vivre ces grands changements absolument incroyables, un moment des plus excitants à l’échelle de l’Univers. Tous les regards sont tournés sur la Terre aujourd’hui et nous avons « la chance » de faire partie de ce moment historique et ce grand changement.

La préparation d’une incarnation est apparemment un travail incroyablement minutieux qu’il nous ait incapable de concevoir pris dans notre notre monde en 4 dimensions. Mais il n’y a pas un plan. Il y en a des milliers, des millions même avec des alternatives pour chaque décision est prise au cours de notre vie soit par nous-mêmes, soit par une tierce personne, mais qui aura des répercutions sur notre vie.

En sachant tout cela, ne pensez-vous pas que quelque chose comme ce qu’on vit aujourd’hui a été prévu et organisé à l’avance ?
Alors, lâchons les peurs, toutes les peurs. Que ce soit la peur de tomber malade ou la peur d’être vacciné de force. Ce ne sont que des peurs qui n’existent pas pour le moment, mais à qui nous donnons de l’énergie.

Lâchons les peurs, lâchons la branche et laissons-nous porter par le courant qui va nous emmener exactement là où nous avions prévu d’aller.
Alors évidemment, la question qu’on pourrait se poser est de savoir où se trouve le libre arbitre dans tout cela si le lit de la rivière est déjà créé et défini sur plan.

Le libre arbitre, votre choix est là :
– Essayer de se retenir de toutes ses forces à la branche en buvant la tasse
– Se faire emporter par le courant en se débattant, dans la peur et toujours en buvant la tasse
– ou de se laisser porter par les vagues et se laisser guider là où nous devons aller et où nous finirons par aller de toute façon puisque c’est ce qu’il y a de mieux pour nous.

Et pour terminer, j’aimerais vous partager le message qui nous a été donné la semaine passée, soit au début du mois de décembre :
« Réjouissez-vous, le spectacle que vous attendiez est sur le point de commencer. Mais n’oubliez pas, ce n’est qu’un film. Observez-le à distance sans vous laisser prendre complètement. »

J’espère que ce petit épisode improvisé vous a plu et qu’il va vous apporter un peu de sérénité et de réconfort si vous en avez besoin.
N’hésitez pas à me laisser un commentaire sur l’entrée du blogue correspondante. Je vais laisser le lien juste en dessous pour y accéder.